Leah Timothee Lupkins

© tumblr

Je dégueule sur la facilité des sentiments.

ϟ Identity Card

Moi c'est Leah Timothee Lupkins, mais tout le monde m'appelle Tim. Cela fait seize printemps que je suis née, je me rappelle c'était un 2 février pluvieux dans l'hôpital de merde qui en fait n'en est pas un, puisque ma mère a accouché ici, à la maison. Depuis, tout le monde ne cesse de me répéter que je ressemble à Sofia Black D'Elia. Pour éviter de zapper devant la télé toute la journée, je joue dans les rues pour gagner des tunes quand je ne suis pas au lycée et on va dire que ça me conviens. Je suis actuellement célibataire. Depuis que j'ai été frappé par l'orage, je peux musicalement hypnotiser les gens, et ça consiste à faire ressentir aux personnes qui entendent ma musique ce qu'elle représente émotionnelle. Mélancolie, joie, tristesse, désir, désespoir, culpabilité, euphorie, dynamisme, .... Je fais partie du groupe Better than Batman, et je suis sur que vous allez m'adorer ... ou pas !

ϟ 20 Thing about Timothee

JE SUIS PARFAIT ... Joyeuse Spontanée Mystérieuse Passionnée drôle

AVEC PLEIN DE JOLIS DEFAUTS ! Perdue Sarcastique ironique Sauvage Impulsive

•• Timothee s'appelle en réalité Leah, mais elle ne l'aime pas du tout, pourquoi? Elle n'en sait trop rien. Personne ne l'appelle ainsi, même à l'école, elle se présente comme étant Timothee Lupkins. Plus masculin, plus fort, moins fragile et inoffensif. Leah? personne ne connait, ou presque.
•• Timothee a un caractère sauvage et indomptable. Elle est sur la défensive lorsqu'elle ne connait pas la personne en face d'elle. Elle peu se montrer blessante, maîtrisant le sarcasme et l'ironie pour mieux se protéger.
•• Timothee a peur des animaux à plumes, mais particulièrement des pigeons.
•• Timothee joue de la guitare, du piano et de l'harmonica. Elle se montre pourtant réticente à jouer depuis l'incident provoquer par la découverte de son pouvoir.
•• Timothee a des problèmes de ponctualité, elle est souvent en retard, pour ne pas dire tout le temps.
•• Timothee n'a jamais été amoureuse. Elle croit ressentir de l'amour à l'égard de Chad, son meilleur ami et voisin depuis toujours, mais ce n'est pas le cas. Elle y est très attachée et il est sans doute la personne pour qui elle éprouve les sentiments les plus fort.
•• Timothee déteste porté des chaussettes les même, d'ailleurs, en matière de chaussettes, elle aime en avoir de toute les couleurs possibles et imaginables.
•• Timothee aime croire qu'elle a été échangé à la naissance, mais malheureusement, elle ressemble trop à sa mère pour que cela puisse être le cas.
•• Timothee boit, mais ne se drogue qu'en de rare occasion. Elle fume aussi.
•• Timothee est quelqu'un de fort et fière, elle déteste que l'on puisse voir ses faiblesses, pires, qu'on puisse la voir pleurer. Elle ne supporterait pas que l'on ait pitié d'elle, elle n'en a pas besoin.
•• Timothee a honte de ses parents et surtout de leur comportement, mais pas de sa fratrie.
•• Timothee adore la solitude, mais seulement lorsqu'elle est entourée. Elle aime être dans sa bulle, mais ne supporte pas l'absence de bruit et de mouvement, elle aime sentir la présence des autres personnes autour d'elle.
•• Timothee est accro au coca cola (à la cocaïne comme son petit frère aime dire) et aux sucrerie, particulièrement les dragibus et les fraises Tagada.
•• Timothee n'a parler de son pouvoir à personne, même pas à Chad.
•• Timothee adore sentir le froid, la pluie et la neige contre sa peau, tout simplement parce que cela lui donne l'impression de se sentir vivante.
•• Timothee a un humour des plus particuliers qui se mêle à sa maladresse et qui, finalement, fait tout son charme.
•• Timothee aime que les choses soit théâtrale, elle s'en amuse et en joue beaucoup.
•• Timothee n'est pas une grande dragueuse, elle dégage un charme naturelle, sans artifice.
•• Timothee aime faire ses propres vêtements, elle utilise souvent des vêtements de récupération qu'elle arrange à sa mode. Elle mélange les style, les couleurs et les matières, mais finalement, cela lui va plutôt bien.
•• Timothee n'est pas très studieuse et consciencieuse au niveau scolaire, pour le plus grand désespoir de ses professeurs qui prétendent qu'elle a du potentielle et pourrait même obtenir une bourse pour l'université d'ici quelques années si elle daignait s'en donner la peine.

ϟ Under the mask

pseudo/prénom - Fée-lait âge - On ne demande pas l'âge d'une demoiselle, voyons. fréquence de connexion - Cinq jour sur Sept. dédicaces - Banana Split WOUH

ϟ Once Upon a Time

Un grognement s'extirpait de mes lippes alors qu'un objet non identifier venait me heurter le crâne violemment, me faisait ainsi quitter mes songes pour une réalité qui venait de me rattraper. Les paupières closent, je sentais un poids peser contre mon ventre. Je n'osais pas ouvrir les yeux de peur de voir de quoi il s'agissait. Pourtant je le savais. A tout les coups, c'était ma petite sœur, à peine âgée de trois ans. C'était devenue une de ses mauvaises habitudes. Un nouveau grognement, je peinais à émerger, craignant que ma gueule de bois ne s'empire si je faisais le moindre mouvement pour quitter mon lit. Paf. Je sursautais, ouvrant brusquement les yeux alors que quelques choses venait de frapper ma fenêtre. Ma cadette balançait joyeusement son hochet au dessus de moi, venant à nouveau frapper ma caboche à l'aide de son stupide jouet. Je poussais un râle désaprobateur et me redressait, posait le minimoys sur le sol pour qu'elle retourne gambader gaiment ailleurs. Un cailloux venait à nouveau cogner contre la vitre. Je m'y précipitais, l'ouvrant à la hâte pour découvrir qui était l'instigateur de cette attaque. Je soupirais, soulagée, en apercevant la gueule d'ange de mon meilleur ami sous ma fenêtre. Je posais mes coudes contre le bord de celle-ci, venant reposer mon menton dans les paumes de mes mains. Qu'est ce que tu veux? Que je te lance ma chevelure pour que tu escalades jusqu'à moi? Ses orbes se soulevaient vers le ciel avant de lancer un projectile non loin de ma frimousse. Bouge ton cul, Tim, on est à la bourre. Qu'est ce qu'il racontait comme connerie? On était pas à la bourre, mon réveil n'avait même pas sonner. Je jetais un coup d'œil en arrière et... Horreur. Mon réveil n'avait pas sonné, ou alors, je ne l'avais pas entendu. Je fis un signe rapide à Chad et m'empressais de refermer la fenêtre pour mettre la main sur les premiers vêtements qui se présentaient à moi et les enfiler. Je passais à peine devant le miroir, juste le temps de souligner mes yeux de Khôl sombre. Pas le temps pour mes cheveux, tant pi. J'attrapais mon sac au vol et escaladais mon lit sans me soucier du fait que je portais ou non mes chaussures, je n'avais pas le temps. Je dévalais les escaliers. Je m'attardais à peine sur les cris provenant de la cuisine. C'est pas comme si c'était inhabituelle, ici, ça gueulait tout le temps, mes journées étaient rythmées par le fracas de la porcelaine brisé. J'étais pas la plus grande, mais je prenais beaucoup sur moi. Enfin, vous savez, chez nous, c'était un peu un remake de sept à la maison. Ouai, sauf qu'on était neuf, ouai, rien que ça. Je sortais enfin de cette maison de fou, claquant la porte sans la moindre précaution pour rejoindre Chad qui commençait sérieusement à s'impatienter. Stop • Avance rapide • Play. Leah !? Je tournais les talons, ne sachant pas sur qui je dois hurler. Non mais franchement, personne ne m'appellait Leah. Même pas mes parents, enfin, eux, ils ne m'appelaient plus depuis un bon bout de temps, je crois qu'ils en avaient tout simplement rien à foutre, nous les gosses, on était là pour les allocations familiales. Voilà que je me retrouve devant ce flic canon que j'ai déjà croisé à plusieurs reprises. Il était déjà venu à la maison à cause des plaintes des voisins, puis c'est lui qui était intervenu lorsque j'avais découvert mon pouvoir, lorsque j'avais déclenché cette catastrophe. Stop • FlashBack : on. Guitare hissée sur mon épaule, je descendais dans les galeries de métro. J'y allais souvent pour jouer, ça me ramenait pas mal de tunes, ce qui n'était franchement pas superflus. Aujourd'hui, c'était le genre de jour où rien n'allait comme il le fallait. Ca ne m'étonnait même pas de voir aussi peu de monde alors, qu'habituellement, les gens se poussaient. Enfin, ça voulait pas dire grand chose, parce que quand il y avait trop de monde, il prenait moins le temps de s'arrêter pour m'écouter. J'avais poser mon étui ouvert devant moi, j'avais sortis ma guitare et je m'étais mises à jouer. Pourquoi avais-je jouer une mélodie pareil? Parce qu'elle représentait parfaitement ce que je ressentais à cet instant précis. La mélancolie, la détresse, la tristesse, la déception. Mes doigts jouaient contre les cordes, passionnément, je ne me rendis pas tout de suite compte de ce qui se produisait autour de moi. Cette mélodie qui provenait de mon instrument semblait oppresser le cœur de ceux qui l'entendaient, comme s'ils ressentaient à leur tour ces pensées sombres et lugubres, oui, c'était exactement, ils les ressentaient, plus intensément encore. Je relevais le regard vers le monde extérieur, découvrant pour la toute première fois ce que la foudre m'avait fait lorsqu'elle m'avait frapper alors que je fumais à la fenêtre de ma chambre. Je n'eus pas le temps de comprendre, pas le temps d'arrêter, le mal était déjà fait et cet homme plongea droit devant le métro qui arrivait. Je laissais échapper un hurlement, relâchant ma guitare, qui heureusement était maintenue par une lanière de cuire, relevant mes mains contre ma bouche alors que je me collais contre le mur. Mon cœur battait fortement dans ma poitrine, douloureusement, il semblait, j'avais l'impression qu'il allait exploser à tout instant. Je n'avais plus aucune notion du temps, j'étais figé, les larmes roulant contre mes joues pour s'échouer sur mes lèvres. C'était la première fois que j'étais confrontée à la mort. C'était à cet instant précis qu'il entra dans ma vie, me sortant dans ma torpeur, je me jetais dans ses bras pour fondre en sanglot. J'en avais rien à foutre de son uniforme, j'étais tout simplement heureuse de reconnaître un visage au milieu de ces inconnus. Flashback : Off • Play. Je pinçais délicatement les lèvres l'une contre l'autre, hésitant à la rejoindre. Chad me lança un regard interrogateur, je haussais vaguement les épaules pour montrer que j'en étais au même point que lui, dans l'incompréhension. J'étais vachement surprise de le voir là. On aurait dit qu'il m'attendait. C'était franchement débile, comme si un gars comme lui allait m'attendre moi. C'est à cet instant que l'imbécile qui me servait de meilleur ami me poussa dans la direction du canon en uniforme, avec un sourire de crétin. Non mais franchement, je tournais les talons, grimaçant à l'égard de mon meilleur ami alors que j'avançais à reculons vers Monsieur Perfection. Qu'est ce que je pourrais bien lui dire? Franchement j'en savais rien. Ce mec m'intimidait, il n'était pas comme les autres gars, j'arrivais pas à agir avec comme je le faisais avec les autres. C'était étrange. Je ne me l'expliquais pas. Il avait ce regard, intense, profond et pénétrant, j'aurais facilement pu me perdre dans la profondeur de ses orbes aux couleurs de l'océan. Je me retrouvais face à lui incapable de dire quoi que ce soit, je me contentait de sa contemplation. J'étais clairement pas amoureuse de lui, non, c'était de l'attirance, du désir, c'était une obsession, mais ce n'était pas aussi fort que ce que je ressentais pour Chad. Pas aussi fort et pourtant, je ne pouvais pas m'en défaire. Je t'emmène boire un verre!? J'arquais un sourcil, malicieusement. T'es pas censée montrer le bon exemple? Tu veux me faire boire et pendant les heures de cours, en plus. Au lieux de dire oui, tout simplement oui. Quelle conne j'étais, sérieusement, c'était pas si compliqué de dire : oui, simplement oui. Comme si tu avais besoin de moi !!! Puis je ne t'ai pas dis, mais pour toi, ça sera un chocolat chaud. Je souriais doucement, penchant ma frimousse vers la droite. Ça tombe bien, j'ai pas déjeuné. Stop • Avance rapide • Changement de point de vue • Play. Je l'avais emmené déjeuner. Je ne savais pas vraiment ce qu'il me prenait. Qu'est ce que je foutais là? Je n'étais pas à ma place et pourtant, tout semblait tellement naturelle lorsque j'étais avec elle. C'était une gamine, authentique et vraie. Je me demandais où elle trouvait cette force, cette joie de vivre, alors que franchement, la vie ne l'avait pas gâté. Elle profitait, simplement. Elle était peut-être jeune, mais elle comprenait beaucoup plus qu'il n'y paraissait. Je me perdais avec elle. Je ne devrais pas. J'aurais probablement du rester à ma place, j'aurais probablement du ne pas chercher à la revoir, mais cela avait été plus fort que moi. Installés comme des gosses sur les balançoires du parc désert, on se regardait dans le blanc des yeux, en parlant, de tout et de rien, surtout de rien, certainement pas de ce qui faisait mal, ce qu'elle cachait, non elle était trop forte et trop fière pour se confier. C'était comme si la foudre m'avait touché en plein cœur. Boum, comme ça, tout simplement.