Willow Birdie NIELSEN-CROSS

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« Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal. »

ϟ Le slip ça se met toujours sous le pantalon... sauf Batman !

Moi c'est Willow Birdie Nielsen-Cross, mais tout le monde m'appelle Willy. Cela fait vingt-trois printemps que je suis née, je me rappelle c'était un vingt-quatre novembre pluvieux dans l'hôpital de Rødbyhavn au Danemark. Depuis, tout le monde ne cesse de me répéter que je ressemble à Teresa Palmer. Pour éviter de zapper devant la télé toute la journée, j'étudie le journalisme et on va dire que ça me conviens. Je suis actuellement célibataire. Depuis que j'ai été frappé par l'orage, j'ai le don d'hydrokinésie, et ça consiste à contrôler toutes les molécules d'eau présentes dans n'importe quel produit ou organisme (corps humain, nourriture, eau à l'état brute) . Je fais partie du groupe better than batman, et je suis sur que vous allez m'adorer ... ou pas !

ϟ Je t'aime tellement que quand tu seras mort, je te ferai empailler...

JE SUIS PARFAITE... entière intelligente extravertie solidaire altruiste

AVEC PLEIN DE JOLIS DEFAUTS ! lunatique injurieuse désordonnée têtue indisciplinée

« C'est là que je suis censée dire si je suis une gentille fille ou bien au contraire, une véritable petite peste ? Je ne saurais trop comment parler de ma propre personne tout en restant objective car honnêtement, c'est à peine possible. Soit je chercherais à mettre mes qualités en avant, soit à en rajouter une couche sur mes défauts histoire de ne pas passer pour Miss Perfection. Néanmoins, je peux toujours tenter le coup... Je commencerai d'abord par le fait que je suis quelqu'un de sociable et qui n'a que peu de mal à aller vers les autres. J'aime le contact avec les gens et ai la langue bien pendue à l'occasion avec certaines personnes mais je pense être encore loin d'obtenir le titre de moulin à paroles... Quoique, sait-on jamais en fait. Si je me mêle facilement aux autres, cela ne signifie par pour autant que j'aime tout le monde, n'exagérons rien ! Le monde des bisounours où c'est peace and love forever, trop peu pour moi. Dieu sait pourtant que j'adorerais certainement un monde s'approchant au plus de la perfection mais pour cela, il faudrait retirer de cette planète toutes les personnes superficielles, ayant un mauvais fond et de mauvaises intentions. Je ne peux supporter ce type d'individu qui n'est généralement pas foutu de voir que leur nombril n'est pas le noyau du monde et le pire est certainement que ces gens là se croient et voient tout permis, ce qui n'est pas totalement faux et qui me met d'ailleurs hors de moi. Comment peut-on tolérer des inégalités entre les hommes au point d'avoir des traitements de faveur, des avantages qui ne sont accordés à d'autres et tout ce qui s'en suit ? Inacceptable. Oui, je passe sûrement pour une fille qui ne trouve rien de mieux à faire de ses journées que de se rebeller contre le système à vos yeux mais qu'importe, je ne supporte pas l'injustice et refuse de me conformer à quelque chose, un principe en lequel je ne crois pas car ce serait purement hypocrite de ma part. D'accord, cela fait de moi une personne difficile, rétive face au restant de la société mais n'allez pas croire que cela me fasse quoi que ce soit pour autant. Je préfère avant tout me sentir bien avec moi-même que de paraître un idéal aux yeux de tous, il ne manquerait plus que cela. Je sais que j'ai tendance à prendre les choses très à coeur en plus d'aller souvent dans les extrêmes mais c'est plus fort que moi, c'est mon côté militant qui prend le dessus mais j'ose penser que cela ne peut être qu'une bonne chose de défendre à corps et âme ses convictions vous ne croyez pas ? Ce n'est pas pour toujours jouer en ma faveur surtout que je ne démords que rarement, pour ne pas dire jamais, de mes positions. Non pas que je cherche à tout prix à avoir raison mais que je pense justement avoir raison —vous suivez ?- alors je m'accroche et suis plus que têtue en plus de battante... Reste à savoir si cela fait bon ménage ou non. Surtout que pour ce qui est de battante, c'est à prendre au sens figuré comme propre... En effet, je n'ai pas peur d'en venir aux mains quand les choses dégénèrent, quitte à me casser tous les ongles puis qui sait, peut-être quelques os, sans oublier que je jure aussi comme un charretier. Pas très fin tout ça, je sais mais je pense que cela vient du fait d'avoir été élevée avec quatre frères et qu'il n'y avait que deux options avec eux : soit je me laissais faire et en bavais, soit je ripostais et m'imposais. J'ai choisi la seconde proposition ce qui a fait de moi une fille assez... garçon manqué à vrai dire. Enfin, je n'en suis pas moins une femme féminine pour autant mais j'ai parfois des attitudes qui laissent à désirer, je dois l'avouer. Cependant il y a de bons côtés à cela car grandir avec quatre garçons m'a permit de m'affirmer très tôt et d'oser de relever bien des défis, de prendre des risques sans avoir peur des retombées. Peut-être insouciante, je dirais juste casse-cou et audacieuse, estimant que si je me contentais de vivre les bras croisés, je finirais pleine de regrets et c'est l'une des choses que je veux à tout prix éviter. Je suis curieuse et aime l'inconnu et la surprise, l'imprévu. J'espère ne pas finir un jour enfermée dans une sorte de routine car si cela a certes ses bons côtés, je trouve que cela a plus d'inconvénients comme le fait de devenir rapidement lassant. Enfin, c'est ce que je vous dit maintenant mais autant tout à l'heure je vous dirais totalement autre chose, verrais ce qu'il en est autrement, avec un point de vue différent de celui que j'ai actuellement avec une attitude qui sera elle aussi différente. N'allez pas imaginer que je suis bipolaire ou que je sois atteinte de quelconque pathologie concernant des troubles de la personnalité hein mais je dois avouer être une personne lunatique et change donc d'humeur, d'envie et de comportement en un laps de temps parfois très court suite à l'élément déclencheur de ce changement. Cela peut-être assez perturbant pour certains, insolite comme on peut tout aussi bien le dire mais c'est passager. À vrai dire, chaque état d'esprit est justement passager mais mes valeurs et priorités tout comme ma personnalité restent indemnes. Je suis aussi une jeune femme extravertie et donc très ouverte. C'est sans le moindre problème que j'exprime et manifeste ce que je ressens. Si je dois pleurer alors je pleurerais et si je dois rire, je rirais. Je n'ai pas honte de mes émotions et même si j'ai une certaine fierté, je suis avant tout humaine et non pas un robot conditionné à rester de marbre vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Surtout que si je ne l'exprime pas verbalement, cela se fera par les gestes, étant d'ailleurs une personne particulièrement tactile, ce qui peut parfois mettre mal à l'aise ceux qui ne le sont pas de nature. Car oui, j'ai beau être une belle brute à l'occasion, je peux être tout aussi douce et attentionnée, tout n'est que question de volonté avec moi si vous voulez tout savoir. Assez parlé, je pense en avoir déjà bien dit sur ma petite personne si ce n'est trop. Le reste, vous vous chargerez vous même de le découvrir si je veux bien me prêter au jeu... »

ϟ Si la vie n'est pas rose, elle est de quelle couleur ?

pseudo/prénom - Clockwork Orange/Janna. âge - eighteen years old. fréquence de connexion - un passage quotidien, ne serait-ce qu'en coup de vent. dédicaces - prosternez-vous à mes pieds & vénérez-moi *out*

ϟ Je ne peux pas lire l'heure, les chiffres changent tout le temps.

racontez-nous l'enfance de votre personnage ; comment a-t-il vécut, dans qu'elle ville, avait-il des frères et sœurs ? - « J'ai toujours eu une vie plutôt banale avant ce fameux orage, rien qui ne soit sorti de l'ordinaire ou qui ai fait que je sois quelqu'un de spécial. Pour cela, je vais faire dans les grandes lignes pour ce qui est de vous dire qui je suis et d'où je viens. Je suis née à Rødby, sur une île danoise il y a maintenant vingt-trois années d'un père éleveur de chevaux et d'une mère femme au foyer. C'est là-bas, dans une sorte de ranch, que j'ai passé la quasi totalité de ma vie avec mes quatre frères aînés : Micah, Holden, Pierce et Clark. Notre famille a vécut avec peu de moyens mais cela était amplement suffisant pour nourrir toutes les bouches et qu'on ne manque de rien non plus. Il faut dire que l'on a très tôt apprit à se contenter de peu mais peut-être est-ce parce que nous n'avions jamais connu l'excès en quoi que ce soit, faute de moyens justement. Je me rappelle que mes frères et moi passions notre temps dans le haras de notre père pour approcher et jouer avec les chevaux avant qu'il nous prenne la main dans le sac et nous sermonne... Pour ensuite nous apprendre à monter, ce qui pour moi n'a pas été une grande partie de plaisir ayant fait plusieurs chutes en manquant de me faire piétiner... Depuis, j'en garde un souvenir assez amer et ne suis jamais remonté sur l'une de ces bêtes, passant le plus clair de mon temps dans le lac à faire trempette. J'adorais tout ce qui se rapportait à l'eau, le contact de celle-ci sur ma chair, les gouttes glissants le long de mon corps... Ne me demandez pas pourquoi, moi-même je n'en ai jamais su la raison ni même cherché à vrai dire. Enfant, j'étais le genre de petite fille hyperactive à faire les quatre cent coups avec mes frères, incapable de tenir en place et faire quoi que ce soit qui ne me mette pas en danger. Je ne vous raconte pas le nombre d'allers et retours que j'ai bien pu faire entre l'infirmerie de mon école ou l'hôpital du coin pour égratignures et os cassés ! Si cela faisait rire mon père de me savoir aussi aventurière, pour ma mère c'était plus du genre à se ronger les ongles et s'arracher les cheveux... Mais rien d'étonnant, c'est une maman poule éternellement inquiète. À l'adolescence j'ai ralenti le rythme pour entrer un peu plus dans le moule. Je quittais ma petite troupe de garçons pour me mêler davantage aux filles, entrant parmi les cheerleaders de notre lycée de paumés mais j'étais la seule du groupe à prendre cette activité à la légère, la pratiquer pour m'amuser et ne la voir que comme un hobby, ce qui n'était pas vraiment au goût de mes camarades. J'ai fini par laisser tomber non pas par contrainte mais parce que le cheerleading était plus devenu une corvée qu'une source de distraction. J'ai alors intégré d'autres clubs dont mes préférés comme l'équipe de journal du lycée et l'équipe de natation. Si j'avais connu la popularité au départ, je n'étais désormais plus qu'un visage parmi tant d'autres et aussi incroyable soit-il dans le monde des adolescents, cela me convenait parfaitement. Me démarquer parce que j'agitais mon derrière et mes pompons en même temps n'était pour moi pas une raison valable, qui vaille le coup... Si je devais être reconnue un jour, c'était pour avoir fait des choses qui me tiennent à coeur et uniquement cela. C'est à partir de là que je me suis dit qu'entrer dans la norme m'intéressait peu si je perdais en cours de route mon identité propre et qu'importe si cela déplaisait à autrui. Mon objectif premier au lycée était de pouvoir un jour quitter Rødbyhavn et étudier ailleurs, faire carrière dans le journalisme autre part que dans un petit patelin sans la moindre opportunité. Mes parents n'en avaient pas les moyens et ma seule chance était d'obtenir une bourse et qui dit bourse dit notes excellentes, ce que je m'entêtais à vouloir obtenir et croyez-moi, ça a payé ! Une fois mon diplôme du secondaire en poche et une place offerte par la faculté de Cardiff, je pliais bagages direction l'Angleterre, non sans douleur de devoir me séparer des personnes que j'aimais le plus mais dont je faisais malgré tout la fierté. » alors comme ça, t'étais dehors lorsque l'orage à frappé ? - « Il faut croire que oui apparemment... Plus sérieusement, je m'en rappelle parfaitement. En venant à Cardiff pour étudier le journalisme, je n'en ai pas mis pour autant mes longueurs de piscine pour autant de côté en les laissant au Danemark. Cela me détend bien trop et me fait tellement de bien que je ne pouvais me résigner à arrêter malgré mes études et activités extra-scolaires pour cela, je me rendais au moins deux fois par semaine à la piscine de l'université. Faisant mes longueurs après les cours jusqu'à ce que l'équipe de l'établissement vienne s'entraîner, je suis partie prendre une douche puis me changer au vestiaire pour quitter les lieux et donc rentrer chez moi. La peau encore humide et les cheveux mouillés, l'air frais de l'extérieur me laissait déjà comprendre que j'aurais dû me sécher plus vigoureusement car si j'avais en temps normal une santé de fer, je n'étais malgré tout pas à l'abri d'un rhume ou quoi que ce soit d'autre. L'air est devenu plus frais encore et le ciel s'est assombri tandis que je refermais ma veste pour me protéger du froid même si l'humidité de mes cheveux était certainement ce qui jouait le plus contre moi pour ce qui était de tomber malade. Puis une première goutte d'eau s'est écrasée sur le sol et une seconde sur mon crâne. Je me souviens avoir froncé les sourcils et grimacé puis ensuite accéléré la marche car la pluie était devenue plus régulière et plus forte et ce, à chacun de mes pas. Il y eut un premier éclair puis le tonnerre a suivit juste après. La foudre s'est mise à traverser le ciel à plusieurs reprises tandis que je me cherchais au mieux un abri histoire de ne pas être exposée à cet horrible temps mais le sort en décida autrement. Quelles étaient les chances que je me fasse foudroyée ? Oh, certaines minimes et pourtant, le peu qu'elles étaient ont amplement suffit pour ne pas me rater. Nullement le temps d'être surprise ou quoi que ce soit car à peine l'électricité se logeait-elle dans mon corps que la douleur s'en empara elle aussi. Ne me demandez pas ce qui s'est passé ensuite, je serais incapable de vous répondre. » et comment t'as découvert tes pouvoirs au juste ? - « À savoir, j'étais au départ une de ces personnes sceptiques au possible concernant tout ce qui tout au surnaturel, la religion et compagnie. Pas croyante en quelconque Dieu pour un sou, aux fantômes et autres trucs du genre, j'étais bien loin de m'attendre à ce que ce fichu orage me fasse revenir sur mes positions. Je ne suis pas sûre de la première fois exactement où j'ai découvert mon pouvoir mais le moment qui m'a mit la puce à l'oreille était tout bonnement dans la rue. Vous savez, alors que vous marchez tranquillement sur le trottoir, il y a toujours un petit merdeux dans sa voiture qui voit une belle flaque d'eau et meurt d'envie de rouler dedans histoire de donner une belle douche aux piétons. Dans ce cas là, il y avait d'un côté un chauffeur et de l'autre côté moi, la piétonne. Entre nous : cette magnifique grande et profonde flaque d'eau de pluie qui n'appelait que la voiture pour qu'elle lui roule dessus. Aussitôt appelé, aussitôt fait. J'ai juste eu le temps de tourner la tête pour voir l'eau sale m'arriver en plein dessus que celle-ci ne m'a finalement jamais atteint, retombant à un angle parfaitement droit sur le sol, comme si j'avais mit un mur entre elle et moi. Je sais à quel point j'ai souhaité qu'elle ne me touche pas mais jamais je n'aurais pensé que cela puisse se produire tellement cela paraissait inévitable mais surtout impossible... » et sinon, tu fais quoi maintenant ? - « Je me suis très rapidement fait à l'idée d'avoir à présent un don et le vis très bien même. Je n'hésite pas à m'en servir si l'envie m'en prends mais je tâche d'être discrète avant tout. Aucune envie d'être une bête de foire à distraire tous les esprits tordus ou curieux. Je n'ai mis personne au courant de mon entourage, pas même ma famille car je crains leur réaction s'ils apprenaient que j'étais devenue... Je n'ai même pas de terme pour qualifier mon statut à vrai dire. Je préfère garder le silence sur ce qu'il en est pour le moment et me contenter de perfectionner l'utilisation de ce pouvoir, à bon escient de s'il m'est possible... On verra par la suite ce qu'il en est. »