Asher ~ I'm only human

Asher Luke Meanwell

© Adastra
JE DETESTE CES PUBLICITES QUI SE METTENT EN QUATRE POUR NOUS DONNER ENVIE D'ACHETER UN PRODUIT A LA CON DONT ON N'A MEME PAS BESOIN, QUI TE TUTOIENT POUR TE VENDRE DU FANTA CITRON, QUI TE TUTOIENT SI T'ES UN JEUNE, PARCE QUE LES JEUNES SONT COOL ET ARRIERES ET QU'IL FAUT LES TUTOYERS SINON ILS NE COMPRENANT PAS CE QU'ON LEUR DIT, ET LA VOIX OFF DE MINETTE EN CHALEUR DES PUBS POUR LE DEODORANT, LE ROUGE A LEVRES ET LES CREMES DEPILATOIRES, PARCE QUE TOUTES LES FILLES ENTRE QUINZE ET VINGT ANS SONT DE TOUTE FACON DES MINETTES EN CHALEUR, HYSTERIQUES OBSEDEES PAR LA TENUE DE LEUR DEODORANT ET NAGERONT DANS LA JOIE EN APPRENANT QU'ON FABRIQUE MAITENANT DES CREMES DEPILATOIRES EN SPRAY ET QUI FONT EFFET EN TROIS MINUTES SANS IRRITATION, C'EST-A-DIRE JUSTE LE TEMPS QUE LE JEUNE QU'ELLES ONT RAMENE D'UNE QUELCONQUE 'TEUF' SE TAPE UN FANTA CITRON ET LE DEBUT D'UNE QUEUE PENDANT QU'ELLES SE DESHERBERONT LES JAMBES ET LA CHATTE AU SPRAY ENFERMEES DANS LA SALLE DE BAIN, ET POURRONT DONC PASSER IMMEDIATEMENT A L'ACTION DES QU'ELLES SORTIRONT, IMBERBES ET DONC BAISABLES, ET LEUR FILER UN ORGASME A COUPS DE BOUTOIR MAL ASSENES, MAIS PAS DE CES VILAINES MALADIES VENERIENNES QUI DECIMAIENT LES PROSTITUEES AUTREFOIS, MAIS QUI NE VOUS DECIMERONT PAS, TOI ET TES PAREILLES, LES JEUNES MINETTES EN CHALEUR, GRACE AUX PRESERVATIFS MACHIN, LES PRESERVATIFS MACHIN : TAPE TOI LA TERRE ENTIERE... LES PRESERVATIFS MACHIN : PLUS RIEN NE T'EMPECHE D'ETRE UNE SALOPE.

ϟ Step by step

Moi c'est Asher Luke Meanwell, mais tout le monde m'appelle Ash", la pile, electroboy . Cela fait 21 printemps que je suis née, je me rappelle c'était un 14/12/90 pluvieux dans l'hôpital de votre lieu de naissance. Depuis, tout le monde ne cesse de me répéter que je ressemble à Ash Stymest. Pour éviter de zapper devant la télé toute la journée, je votre métier/études et on va dire que ça me conviens. Je suis actuellement célibataire. Depuis que j'ai été frappé par l'orage, je peux électrokynésie, et ça consiste à en le contrôle de l'électricité. Je peux en produire (tout dépend de mon état de santé et ma force sur le coup), et contrôler cette électricité. Je suis capable de fournir du courrant, comme au contraire prendre tout le courrant d'un objet.. Je fais partie du groupe Better than Batman, et je suis sur que vous allez m'adorer ... ou pas !

ϟ One day, I saw you cry...

Elle lui avait dit qu'il y avait plus de larmes versées sur les prières exaucées que sur celles qui ne l'avaient pas été
Imaginé la pluie, la lune haut dans le ciel. Les étoiles qui vous chante et le sang vermeille. Imaginé vous la neige souillé, les sourires qui finissent par fané lorsqu'ils se rendent compte qu'ils n'iront pas plus loin. Je suis né un jour d'hiver, la neige avait bloqué les routes. Il faisait froid, vraiment froid. Mais ce n'est pas étonnant pour un hiver russe. Ma mère enceinte jusqu'aux yeux senti les premières contractions en début de soirée, par la suite, incapable de réfléchir, mon père la conduit à l'hôpital. Lorsque j'y réfléchis bien ça ne m'étonne en rien. Mon père était un incapable, incapable d'offrir une vie correcte à ma mère. Incapable de m'aimer, incapable d'être quelqu'un. Il était juste un de ces cafards grouillant sur le sol, vulgaire bestioles dont on se passerait bien. Mais c'est mon père, mon géniteur, et quand je pense à ce qu'il a sacrifié, à ce qu'il m'a offert, sincèrement, tout ça m'indiffère. Tout ce que je sais de lui c'est ce qu'on m'a raconté et sincèrement je n'ai pas besoin de plus. Je suis donc né au milieu de la nuit. Mon père était en train de conduire alors que la neige tombait de plus en plus lourdement, recouvrant le monde d'une couverte immaculé, le lavant de ses péchers l'espace d'une soirée. Je suis né peu avant minuit, après des heures de douleurs à ne savoir que faire, ma mère eu enfin le soulagement de me voir naître. Sur le coup, elle ne sut quel nom me donner alors très simplement le prénom de son propre père mort quelques années plus tôt. J'eu ensuite droit de porté comme second nom celui de mon père. Comme si j'allais considéré la chose comme honorifique. Pour moi il ne s'agit que d'un poids que j'ai l'habitude de porté, un autre fardeau qui pèse sur mes épaules...

A mes deux ans, mes parents et moi déménagèrent. Je ne saurais expliqué comment, je ne saurais expliqué pourquoi, mon père disparu en un claquement de doigts. C'est avec une mère perdue que je fis mes premiers pas dans cette ville sans savoir où j'allais, trop jeune pour comprendre ce qu'il m'arrivait. Enfant je n'étais pas un ange. Plutôt plein de fougue je courrais partout, j'étais ivre de savoir, ivre de pouvoir. Je n'avais jamais assez de temps, la vie ne m'offrait jamais ce que je désirais, ce dont j'avais besoin. Enfant déjà j'étais différent. Que ce soit dans ma manière de réagir face au reste du monde, ou de voir les choses. J'étais quelqu'un d'a part. A l'école je devins vite un chef de bande. J'avais mes sbires et mes amis, le reste n'importait pas. J'avais le pouvoir, mais ce n'était pas assez pour moi. Ma mère s'occupait bien de moi, faisait de son mieux afin que je ne me rende pas compte de ce qui se passait. Du manque d'argent dont nous souffrions. Du métier qu'elle exerçait, ce monde de la nuit où elle se prostituait et qu'elle tentait tant bien que mal de me garder éloigner. Cependant, plus je grandissais, plus je me rendais compte du monde autour de moi. De ce monde, autant de sa lumière que de ses ténèbres. Malgré moi je sombrais. Je crois que j'étais fait pour sombrer. Pour passer de l'autre côté de la ligne. Il est des gens qui sont fait pour souffrir. Pour ressentir cette douleur brûlante les briser petit à petit, les poussant jusqu'à la folie. Cette obscurité qui vous ronge de l'intérieure finissant par vous pourrir, rendre détestable et exécrable ce qu'il reste de vous à la fin. Car même si vous pensez pouvoir grandir, pouvoir être lucide et souffrir, il arrive un moment où vous passez de l'autre côté de la ligne. Faire autrement est impossible et je l'ai appris, malheureusement, ce fût à mes dépends.

Ici, tout semble se savoir, tout semble être connu de tous. L'adolescence ne fût pas une partie de plaisir pour moi. Attiré vers les ténèbres, je laissais mon bateau sombrer sans faire attention aux nouveaux jours qui se levaient. Ma mère toujours dehors, elle n'était pas là pour me voir me descendre en flamme. Je le savais et je m'en fichais dans le fond. Je n'avais besoin d'autre spectateur de ma chute personne que moi même. Le monde n'allait pas m'atteindre, la société ne pouvait m'attraper. J'étais insaisissable, toujours en mouvement, couchant à gauche et à droite j'ai appris dans la rue ce que je sais aujourd'hui. J'ai appris à fuir, j'ai appris à rire, à ravaler mes larmes, à souffrir en silence et recevoir les coups. Le monde dehors n'est pas le même que dans vos chaumières. Le monde dehors n'est pas éclairé par vos lumières. Bien vite je ne fus plus sur la même longueur d'onde que ma mère. J'exécrais ce commerce, l'argent contre tout, l'argent contre l'amour, l'argent contre la vie, l'argent contre le sexe, l'argent contre toi, l'argent contre moi, l'argent contre nous. Je serais devenu fou a force de le voir régner en maître partout Je serais devenu fou si je n'avais pas rencontré des personnes de l'autre côté. Si je ne m'étais pas laissé bercé par les ténèbres qui doucement finir par m'annihiler. Que c'est il produit ? Que m'est il arrivé ? Rien, rien de plus que ce qui nous attend tous.... J'ai perdu l'espoir, j'ai perdu l'espoir d'y croire. De croire en ces sentiments inutiles et désappointant que la télé nous vend. Non l'amour ne représente rien. Non ce n'est rien que du commerce. Votre femme finira dans le lit d'un autre une fois que votre portefeuille sera vide. Et vous catin, ne vous inquiétez pas on est pas mal dans notre genre. Une fois qu'on aura eu ce que nous désirions ou vous laissera pour une femme plus belle, une autre plus jeune. Une a qui on fera des enfants, à qui on promettra le monde avant de la larguer à son tour une fois qu'on aura notre progéniture, et marre de la voir radoter. Perdu, je faisais des conneries. Je me suis mis à boire, à fumer, à me droguer. Je n'avais plus de limite. Ce que je voulais je prenais. Ce que je désirais je l'obtenais. Me glisser dans un lit pour l'avoir ne me dérangeais pas. Si mon corps était une arme, pourquoi ne pas m'en servir ? Toujours en mouvements j'étais pareille à une pile électrique, toujours survolté. Cependant un jour ça se termina mal... car au final on fini toujours par y perdre;
Et moi j'ai tout perdu. Cette petite flamme qui me permettait encore de survivre. Cet estime que j'avais de moi jusqu'à là. J'ai perdu tout ça le jour où je l'ai vu tombé, où après avoir court-circuiter un circuit électrique d'une maison de bourge, j'ai vu les flammes prendre le plafond, se déplacer toujours plus vite, toujours plus loin, toujours plus violemment. J'ai vu l'enfant se pencher à la fenêtre se mettre à pleuré, me fixer en appellent à l'aide et les flammes l'avalé. J'ai vu mon échec, j'ai vu ma stupidité dans les larmes d'un enfant de sept ans qui n'avait même pas compris ce que signifiait de vivre. J'ai vu mon horreur du monde se reflété dans ses yeux alors que je lui volais des années auxquelles il ne pourra jamais goûter...

J'avais 17 ans. J'étais stupide, impatient. Je fonçais tête baissé et faisais des choses en les trouvant marrantes. J'étais loin de la réalité. Si loin qu'il me semble que j'étais encore plus exécrable que ce que je ne le pense. A l'école il n'y eu aucun impacte à la suite de cet incident. Dans ma vie non plus, il s'agissait d'un feu déclanché par un mauvais branchement, pas à cause d'un gamin qui se prenant pour un grand avait voulu piller la maison de riche bourgeois. Non, ça ce n'était pas la version officiel et dieu seul sait comme je l'aurais préféré. J'aurais aimé me faire arrêté. Pouvoir expier mes pécher. Au lieu de quoi aujourd'hui encore je subis mon erreur. Je suis barman dans un bar miteux et je ne fais rien de bon de ma vie. Rien qui n'ai jamais valu la peine qu'on m'offre cette chance.

C'est un soir en fermant le bar que j'ai tout découvert. A la suite de l'orage je m'étais toujours senti un peu étrange. Pas à l'aise. Je n'avais même pas loué un quelconque dieu pour ma survie à cet étrange situation. Cependant je ne savais jusqu'alors qu'est-ce qui m'était arrivé. Seul dans le bar, les lumières allumés, je retournais les chaises lorsqu'il eu une chute de tensions. Les ampoules faiblirent à peine avant de retrouvé leur intensité normale. Toutefois l'une d'entre elle ne se ralluma pas. C'est un ruminant dans ma barbe que j'ai été cherché une nouvelle ampoule et que j'ai mis une chaise en dessous de celle que je devais changer. Montant sur celle-ci je me souviens clairement avoir fait tourner l'ampoule dans son socle avant de tendre la nouvelle vers le socle. Cependant, avant même que je n'eu remis le courrant, l'ampoule brillait déjà de mille feu. La mettant à l'hauteur de mes yeux, je la fixais sans comprendre ce qui était en train de se produire. J'étais bien trop choqué que pour réfléchir. J'étais bien trop perdu que pour comprendre ce qui m'arrivait. Était-ce un rêve ? Un canular ? Une foule d'idée se bousculaient dans ma tête alors que je les descendais une à une. Il me fallu quelques jours pour digérer la nouvelle, depuis lors je me sers assez couramment de ce don. Cette chance d'être quelqu'un d'autre. Une nouvelle chance, ne signifiait pas réparé ses erreurs. Ça signifiait juste avoir une nouvelle toile afin de tout raté encore une fois.

ϟ I said I'm only human

Je suis quelqu'un de complexe. Le jour et la nuit à vrai dire. Je ne crois en rien. Je ne cherche pas à m'occulter de la vérité de ce bas monde. Je suis de la merde, dans un monde de merde et je ne risque pas d'arrivé à m'en sortir. Plutôt défaitiste je ne vois qu'en de très rare occasion le bon côté des choses. Je suis froid, incapable de ressentir, de sentir quoique ce soit. Depuis des années je suis gelé, glacé dans une éternelle torpeur qui finira par m'achever. Non, je ne m'en relèverais pas, je le sais et je ne cherche pas à me mentir. Je ne crois pas en l'amour ni en toutes ces conneries. Je suis distant, je jure trop, j'ai de sale manies, je fumes comme un pompier. Il m'arrive de prendre des trucs pour survivre à de nouvelles journées. Je suis qu'un humain, bourré de défauts, de mauvaises habitudes incapable de changer. Incapable de se servir de sa nouvelle chance afin de faire quelque chose de sa vie. Incapable de se servir de son don afin d'aidé les autres. On pourrait me croire égocentrique, je fais tout pour qu'on le croit, mais la réalité est tout autre. Je suis né pour souffrir, je suis né afin de faire souffrir. Ma vie se résume à me pourrir et pourrir ceux qui m'approche. Je suis comme ces bactéries qui petit à petit infecte la pomme, la soumettant par la suite aux affres que lui cause les vers. Je suis pourtant toujours surexcité. Toujours en mouvement tel une pile électrique je ne peux resté plus de quelques instants au même endroit. Il me faut bouger, m'activer. Toujours être en mouvement afin de pouvoir occulter ce que je ressent. Je suis un anathème, je condamne les gens qui m'entoure à la souffrance. Et dans le cas contraire, je les pousse à me fuir afin de ne pas atteindre ce stade. La solitude est le seul moyen d'être sauf et de sauvé. De ne pas saigner et cessé de blesser. Mais la solitude me pèse autant que par le passé elle su m'apaiser. Je suis complexe, j'ai du potentiel, mais je suis incapable de le développé. Il me faudrait quelqu'un pour me centrer, cependant je ne trouve personne pour m'aider. Je suis un fantôme, un être incapable d'aimer qui se retrouve perdu sur une terre où il ne peut qu'errer.

ϟ Le meilleur comme le pire

pseudo/prénom - Amandine
âge - 16 ans
fréquence de conneon - 5/7
dédicaces - écrire ici